La pierre et le sabre

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9,90€



857 pages - 111 x 178 mm - Poche - EAN : 9782290300541

La pierre et le sabre

«Le sabre perça l'air avec le bruit sec d'une corde d'arc, et un cri foudroyant remplit l'espace vide... Un énorme soleil rouge jaillit en flammes au-dessus du Higashiyama... Fasciné, vibrant de vie, Musashi le regardait monter... Son sang parut sur le point de jaillir de ses pores. On eût dit le diable même, surgi de l'enfer.»
Dans le Japon du XVIIe siècle, Miyamoto Musashi, jeune homme fougueux, n'aspire qu'à se battre. Recherché dans tout le pays, il est recueilli par un moine et n'a bientôt plus qu'un but : tendre à la perfection grâce aux arts martiaux. Son sabre sera désormais serviteur du bien. Il ira de combats en conquêtes à la recherche d'amour et de sagesse, épaulé par le chant de sa tendre Otsu. Un grand classique du récit initiatique qui marie amour, aventure et quête de soi.

  • Traduction (Japonais) : Léo Dilé

Littérature étrangère

Littérature (n° 5195), Littérature étrangère

Paru le 10/01/2000


Les coups de cœur

Le coup de cœur de
Guillaume

Furet du Nord d'Arcueil

Aventure, rédemption. Le classique japonais par excellence. L'équivalent de nos Trois mousquetaires. GÉNIAL.

Le coup de cœur de
Olivier

Librairie-Papeterie Colbert

Je me souviens avoir emprunté ce roman à la bibliothèque municipale de Caen, un peu par hasard, espérant satisfaire ma passion adolescente pour les romans d’aventure.
On peut dire que je fus bien servi, tant le livre de Yoshikawa – palpitant de bout en bout - comporte de passes d’armes et de rebondissements épiques. Ce titre inoubliable, lu et relu, m’a toutefois apporté bien davantage que la relation martiale d’exploits héroïques. Le récit de la vie du légendaire Musashi est un grand roman initiatique qui montre la difficulté du chemin vers le bonheur, l’amour, la sagesse.
Accompagner un merveilleux héros vers la "parfaite lumière" tout en découvrant, fasciné, les splendeurs et la dureté du Japon médiéval a constitué pour moi un véritable moment de bonheur et, bien des années plus tard, je ressens toujours pour ce texte une tendresse particulière.